
Réparation du grand handicap
Tout avocat, toute société de protection juridique, tout cabinet de contentieux, toute assurance, pourrait traiter de façon convenable un dossier de préjudice corporel peu important, donnant lieu à un taux d'incapacité réduit ("coup du lapin" par exemple) .
Les choses se compliquent sérieusement lorsqu'on est en présence :
- d'une responsabilité discutée,
- de conséquences professionnelles,
- de taux d'incapacité élevés,
- d'aides humaines et d'aides techniques nécessaires,
- de préjudices non facilement perceptibles (par exemple traumatismes crâniens) .
En pareils cas, le recours à un cabinet d'avocats spécialisé s'impose.
Pourquoi un Cabinet d'avocats spécialisé ?
- Cabinet , parce que, la gestion de dossiers aussi complexes fait appel à des connaissances complémentaires, il est nécessaire de compter sur une véritable équipe.
- Même si le dossier est dirigé et plaidé au sein du Cabinet par le même avocat, seule une synergie de compétences peut permettre de répondre aux questions soulevées par ce type d’affaires.
- Avocat, parce que, même si la voie amiable est privilégiée, il faut garder la possibilité de plaider le dossier, et seul un avocat peut plaider !
- Spécialisé, car il convient de connaître parfaitement la Nomenclature en constante évolution (22 postes à ce jour), la Jurisprudence et la Doctrine la plus audacieuse...
Cet avocat doit être compétent en médecine légale, pour apprécier d'emblée l'importance des préjudices. Il doit accompagner son client à l'expertise , où il pourra défendre utilement ses besoins en aides humaines et techniques, son préjudice professionnel,…
De plus, le grand handicap n'est pas l'affaire du seul Cabinet d'avocats mais d’un réseau dont il doit être le chef d’orchestre :
- Médecin de recours, qui participe à la constitution du dossier médical et accompagne la victime aux expertises, pour faire respecter "l'égalité des armes" avec l'adversaire,
- Ergothérapeute, pour apprécier les besoins en aides humaines et techniques,
- Expert comptable ou financier , pour estimer le préjudice économique,
- Architecte , pour déterminer les travaux d’aménagement,
- Avis spécialisés en neuropsychologie ou ophtalmologie pour les traumatismes crâniens…
La constitution d'un tel réseau professionnel adapté à chaque situation ne s'improvise pas. Elle n'est possible qu'après des années d'expérience et une remise en cause permanente des acquis.
En 2012 le Cabinet ARCADIO a assisté à près de 80 expertises et traite aujourd’hui en moyenne trois à quatre nouveaux cas par semaine. Aussi est-il à même de répondre à l'extraordinaire défi que représente des dossiers aussi lourds.
Le mot défi est utilisé à dessein.
- Défi en terme de durée, car la consolidation médico-légale intervient souvent 3 ans après l'accident, ce qui donne une idée de l'énergie qui doit habiter la victime et son avocat pendant cette longue période.
- Défi financier, puisqu'il s'agit d'obtenir régulièrement des provisions.
- Défi technique, puisqu'il faut être compétent dans divers domaines : Droit, Médecine légale, Comptabilité, Aménagements du handicap …
- Défi humain, dans le cadre de relations avec la Victime, mais aussi l'Inspecteur de la Compagnie d'assurances, l'Expert judiciaire, le Tribunal…
Sur le plan de la rémunération, sensibles au fait que les victimes n’ont pas toujours les moyens de financer le coût d’une procédure, nous leur proposons un mode de rémunération agréé par l’Ordre des Avocats.
Ce système de rémunération "au résultat" , prévoit une Partie fixe réduite , et une Partie variable s’adossant aux indemnités perçues et dont le taux peut être différent selon les postes de préjudices.
Ainsi, ce taux est-il limité pour les postes « Aides humaines » et « Aides techniques », afin de ne pas pénaliser la victime.
Dans tous les cas, ces honoraires sont adaptés pour tenir compte des modes de paiement (capital ou rente) .